Démarches administratives

Se marier ou conclure un PACS

Mariage

Vous trouverez ci-dessous en téléchargement tous les documents nécessaires pour préparer votre mariage. Merci de les rapporter en mairie dûment complétés au moins un mois avant la date prévue du mariage. Aucun dossier ne devra être envoyé par la Poste ni être déposé dans la boîte aux lettres.

Documents à compléter :
Questionnaire (282ko) – Attestation de l’époux (199ko) – Attestation de l’épouse (199ko) – Liste des témoins (259ko)

Documents d’information :
Documents à fournir (364ko)  – Informations sur le droit de la famille (220ko)

PACS

Depuis le 1er novembre 2017, les Pactes civils de solidarité (PACS) ne sont plus enregistrés au tribunal mais dans votre mairie de résidence.

Documents à compléter :
Convention type (Cerfa n° 15726*02 – pdf 383 Ko)
Déclaration conjointe (Cerfa n° 15725*02 – pdf 406 Ko)

Document d’information :
Fiche d’information (pdf 4.3 Mo)

CNI / Passeports

1- Constituer son dossier
Il est fortement recommandé d’effectuer une PRÉ-DEMANDE EN LIGNE sur https://ants.gouv.fr pour une démarche plus rapide.
OU
Compléter le formulaire CERFA disponible en mairie : à l’encre noire, en lettres capitales (NE PAS LE SIGNER). Les noms, prénoms, date et lieu de naissance de vos parents devront être renseignés.

LISTE DES JUSTIFICATIFS A FOURNIR

>> Vous la trouverez également :

  • En prenant rendez-vous en ligne,
  • En effectuant votre pré-demande en ligne,
  • À l’accueil de la mairie.

2 – Prendre rendez-vous
UNIQUEMENT en ligne sur la plateforme RDV ONLINE.
Pour modifier ou annuler un rendez-vous, munissez-vous de l’e-mail de confirmation qui vous a été envoyé lors de votre prise de rendez-vous.

3 – Se présenter au rendez-vous
Tout demandeur doit se présenter personnellement, la personne mineure doit être accompagnée du représentant légal (prise d’empreinte digitale à partir de 12 ans).
ATTENTION : en cas de dossier incomplet ou si les photographies fournies ne correspondent pas aux normes ou sont trop anciennes (plus de 6 mois) ou ont déjà été utilisées pour un autre titre, le dossier ne pourra pas être enregistré et un autre rendez-vous devra être fixé.

5 – Le retrait du titre
Vous serez averti lorsque votre titre d’identité sera disponible en mairie.
Le retrait se fait sans rdv aux heures d’ouverture de la maire, de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h30 (17h le vendredi). Si celui-ci n’est pas retiré dans un délai de 3 mois, il sera détruit automatiquement.

A SAVOIR :
LE DÉLAI D’OBTENTION DES TITRES D’IDENTITÉS (PASSEPORT OU CARTE NATIONALE D’IDENTITÉ) PEUT, SUR CERTAINES PÉRIODES, VARIER DE 4 A 12 SEMAINES. ANTICIPEZ DONC CETTE DÉMARCHE AU MAXIMUM, NOTAMMENT A L’APPROCHE DES CONGÉS D’ÉTÉ.

 

 

Fiche pratique

Recouvrement des charges de copropriété impayées

Vérifié le 16 août 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Lorsqu'un copropriétaire ne paye pas ses charges dans les délais convenus, le syndic de copropriété doit engager les démarches nécessaires pour percevoir les sommes impayées. Dans un 1er temps, une simple lettre de rappel est adressée au copropriétaire défaillant pour tenter un recouvrement amiable. Si l'impayé persiste, le syndic doit procéder dans un 2ème temps à la mise en demeure du copropriétaire. Enfin, si le syndic ne récupère pas les sommes impayées, il doit saisir les tribunaux.

En cas d'impayés de charges, il appartient au syndic de copropriété de faire le nécessaire pour les percevoir.

Relance

Dans un 1er temps, une simple lettre de rappel est adressée au copropriétaire défaillant pour tenter un recouvrement amiable. Dans cette lettre, il doit lui être rappelé que la date de paiement des charges est dépassée et qu'à défaut de paiement, une procédure de recouvrement pourra être lancée à son encontre.

Mise en demeure

Si l'impayé persiste, le syndic doit procéder à la mise en demeure du copropriétaire défaillant par :

  • lettre recommandée avec accusé de réception,
  • ou par acte d'huissier.

Le copropriétaire a ensuite 30 jours pour payer ses charges, à partir :

  • du lendemain du jour de la 1re présentation de la lettre recommandée au domicile,
  • ou du lendemain de la remise en main propre de l'acte d'huissier.

Des intérêts de retard sont dus au taux légal à partir de la mise en demeure adressée par le syndic au copropriétaire défaillant.

  À savoir

en pratique, un accord amiable peut être trouvé si le copropriétaire défaillant souhaite régulariser sa situation et demande un étalement de sa dette.

Si le copropriétaire défaillant ne paye pas dans les 30 jours, ou si aucun accord amiable de remboursement de la dette n'a pu être trouvé, le syndic doit engager une procédure devant le juge.

Le syndic peut alors agir rapidement dans le cadre d'une procédure spécifique :

À défaut d'engager une procédure spécifique, le syndic doit saisir les tribunaux.

La juridiction compétente dépend des sommes en jeu dans le litige.

Dans tous les cas, les impayés de charges doivent être réclamés dans un délai maximum de 10 ans.

Le syndic n'a besoin d'aucune autorisation de l'assemblée générale pour poursuivre le copropriétaire défaillant, sauf si une saisie du lot de copropriété s'impose.

Remboursement de l'impayé

À l'issue du jugement, le copropriétaire défaillant peut être condamné :

  • au remboursement des charges impayées,
  • au versement d'intérêts de retard au taux légal (ces intérêts courent à partir de la mise en demeure adressée au copropriétaire défaillant),
  • au versement d'indemnités complémentaires au versement d'intérêts de retard en application d'une clause pénale si celle-ci est prévue par le règlement de copropriété (ces pénalités peuvent être réduites par le juge s'il les considère comme excessives),
  • à la saisie de son lot de copropriété et à sa mise en vente en vue d'obtenir le paiement des impayés sur le prix de vente.

 Attention :

le tribunal peut toutefois décider d'accorder au copropriétaire des délais de paiement, sous réserve qu'il justifie de réelles difficultés financières.

Frais de procédure

Les frais de procédure sont à la charge du copropriétaire défaillant.

Ils comportent notamment :

  • des frais de mise en demeure engagés par le syndic,
  • des frais de relance à partir de la mise en demeure,
  • et des frais d'huissier engagés pour les besoins de la procédure.

 À noter

le tribunal peut décider de mettre simplement ces frais à la charge du copropriétaire défaillant ou de l'en soustraire s'il juge que la situation financière du copropriétaire le justifie.

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